Dans la sombre nuit

Un verre vide traîne sur la table

Un regard par la fenêtre

Les feux des voitures

Eblouissent dans les flaques d’eau.

La nuit épaisse

Enveloppe les tristes pensées

Une cigarette à moitié consumés

Les yeux sont un regard absent

Où ne brille plus aucune étincelle. 

Le soleil qui se couche

De l’autre coté de la terre

Il se lève dans la nuit fugaces

Les mains sur les vitres

Laisse des empreintes fragiles

Le téléphone sonne

Il annonce l’arriver du matin

Retour à la réalité

Les yeux fatigués

Et le cœur endoloris

A l’aube les premiers passant se pressent

La routine leurs cours après

Après une nuit blanches

Assombrit de rêve éveillé. 

Lève les bras en l’air

Attrape tout le bruit autour de toi

Sautes vers l’inconnu

Mot vide dans ton cœur

Marche vers ta propre liberté

Sors de ce carcan de maux

Deviens celui que tu veux

Il n’y a que toi pour décider

Suis tes chemins

Crées en de nouveau

Pour mieux vivre ta vie

Ne sois pas d’accord

deviens ta propre idéologie

Fais de ton monde un paradis

Ne crains ni le feu ni le froid

Marche droit devant toi

Cours contre les murs

Pour mieux les enjamber

Tu es maître de ton destin

Ecris le à l’encre indélébile

Grave dans la pierre tes souvenirs

Ils ne seront pas une peine

Tu sortiras fort

De ce que tu es

Soit fou lorsque l’on te dit d’être normal

Restes toi-même

Ne reste pas prisonnier

De ta propre folie

Pour avancer vers tes rêves

Ramasses les sourires

Pour ne par les perdre 

Et renvois les dans les airs

Pour qu’autres

Lève les bras en l’air

Attrape le monde autour d’eux.

Les phares de la voiture

Roule dans la nuit

Une cigarette au bord de ses lèvres

Il regarde les étoiles

Sa vie qui commence

La peur qui le tiraille

Les mains crispés sur le volants

Il imagine ce qu’il va dire

Plus rien ne sera comme avant

Le début d’une nouvelle ère

Il n’est pas prés

La route s’enfuit devant lui

A perte de vue

La nuit.

A l’approche d’une ville

Les vitrines lui renvoient son reflet

Il ne se reconnaît plus

La cigarette se consume dans le cendrier

Il se perd dans ce qu’il est devenu

Ces choix sont incertains

Mais la voiture continue de rouler

Dans la ville endormis. 

Dans un bar enfumée

Sur la piste de danse enflammer

Deux par deux

Tel des demi-dieux

Ces couples oublient le temps qui passe

Les chemisiers plein de strasse

Les hommes à la bouche une cigarette

Les femmes les yeux plein de paillettes

Au rythmes de la musique enlacés

Les corps laisse le temps s’en aller

Jeunes ou bien plus vieux

Ils sont là où c’est le mieux.

La nuit s’éteint sous les étoiles

Le vents qui souffle dans les voiles

Dans le bar enfumé

L’aube va se lever

Les yeux cernées

Les couples s’en vont rêver.

Dans un bar enfumée

Sur la piste de danse enflammer

Deux par deux

Tel des demi-dieux

Ces couples oublient le temps qui passe

Les chemisiers plein de strasse

Les hommes à la bouche une cigarette

Les femmes les yeux plein de paillettes

Au rythmes de la musique enlacés

Les corps laisse le temps s’en aller

Jeunes ou bien plus vieux

Ils sont là où c’est le mieux.

La nuit s’éteint sous les étoiles

Le vents qui souffle dans les voiles

Dans le bar enfumé

L’aube va se lever

Les yeux cernées

Les couples s’en vont rêver.

Reviens vers moi

Dans ta robe immaculé

Tout n’était pas faux

Malgré ce monde inconnu

Mes yeux disaient la vérité

A propos de nous.

Tu as repris la liberté

Je suis enchaîné à nos souvenirs

Lointaine

Je reste inconsolable

Dans une torpeurs

La nuit a des reflets lumineux.

Je veux t’envoyer

Tout mon être

Mais tu es là bas

Je reste ici avec nos photographies. 

Bouges

Ne laisse pas le temps t’emporter

Cours

Vers ces buts d’autrefois

Danses

Pour montrer que tu vis

Chantes

Pour criées ce que tu ressens

Resistes

A ceux qui ne te comprennes pas

Combats

Tes idées pour en crée de nouvelles

Respires

Pour ne pas oubliés que tu existes

Attrape le monde

Et expose le a de nouveaux regards

Emporte

Tes rêves vers l’infini

Montres

Ton cœur vers l’au-delà

Criés

Tes mots vers les sonnets

Comprends

Ta finitude vers les cieux

Crées

Ta vie vers le paradis

Oublis

Tes peurs vers le néant

Expose

Ton âme vers le monde.

Ces émotions sont un souvenir

Indelibile

Cette chanson comme une muse

Protège moi

Ce film qui défile devant ces yeux

Cette histoire d’amour et de souvenir

Dans une robe à fleur

Cette nuit qui fut le début d’un rêve

Cette chansons qui résonne dans son cœur

Son être boulversé

Par un simple mot

Le temps retrouvé

Cette frénésie comme un orgasme

Les mots écrits dans un carnet

Ce refrain qui l’emporte

Le soleil qui se lève

Dans cette peinture d’autrefois

« souviens toi des moments divins »….

Larmes qui coulent

Elle s’essuie la joue

Elle ne serai plus jamais la même

Il est parti

Son sourire est effacer

Ces cheveux qui cache son visage.

Elle le regarde s’éloigner

Dans la voiture noire

Elle tiens dans sa main

La bague qu’il lui avait offert

Preuve d’un amour

Eternelle

Il est maintenant en terre

Les fleurs poussent

Sur son corps

Solennelle

Elle pleure son amour

Perdu sur terre

Ces souvenirs resterons

immortelle

Le poing qui frappe dans le cœur

Les mains qui claquent entre elle

Cette douleur dans les veines

Qui courent dans le corps

Cette musique qui martèle

Tel un marteau dans ma tête

Le soleil dans le ciel

Ces yeux qui brillent

Un sourire qui se dessine

Elle m’intimide d’un regard

Diable ou angelot

Elle reste là

Ce refrain qu’elle chantonne

Dessine des flammes

Comme un éclair dans la nuit

La pluie qui éteint mon cœur

Mes bras qui tombent

Mon corps fatigué

Je m’éveille

D’un rêve inconnu.